Le vrai changement, c’est leur capacité à agir dans le monde réel
On continue souvent de considérer les LLMs comme de simples modèles de texte. C’est une vision dépassée.
La nouvelle génération de modèles — OpenAI, Anthropic, Google, Mistral, xAI — ne se contente plus de répondre : elle exécute.
Les modèles récents sont capables de :
- naviguer sur le web,
- analyser des interfaces,
- appeler des APIs,
- manipuler des fichiers,
- déclencher des actions (emails, automatisations, requêtes SQL).
La frontière entre “assistant” et “agent” s’efface. Le LLM comprend un objectif, propose un plan, l’exécute étape par étape, vérifie le résultat, et s’ajuste.
C’est ce passage du texte à l’action qui va transformer les workflows : support client, développement, marketing, analyse de données.
Le risque principal : une action exécutée sur une mauvaise interprétation du contexte.
C’est pour ça qu’une validation humaine reste indispensable tant que les modèles n’ont pas une compréhension plus fiable des conséquences.

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